Quatre Mythes racontés sur la Truffes York
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Mon voyage de Bavière est renvoyé jusqu'à l'année prochaine; je vous en avertis, mon cher baron, vous l'ayant promis. Me voilà seul dans le phare avec mon pauvre Tchéco, et Dieu sait pour combien de temps… Pauvre vieux Bartoli ! Par exemple, voilà le jeune M. Littlepage, propriétaire de cette grande maison là-bas, et de tout ce domaine étendu, est ce que nous appelons un aristocrate, et il n’a pas assez de pouvoir pour être nommé greffier de village, encore moins quelque chose de plus considérable. Ici, par exemple, il y en avait de la lumière. Par moments un doigt invisible frappe aux carreaux : quelque oiseau de nuit, que la lumière attire, et qui vient se casser la tête contre le cristal… Dans le ciel, près de moi, un gros oiseau passait lourdement : c’était l’aigle de la tour génoise qui rentrait… Dans la lanterne étincelante et chaude, rien que le crépitement de la flamme, le bruit de l’huile qui s’égoutte, de la chaîne qui se dévide ; et une voix monotone psalmodiant la vie de Démétrius de Phalère… Paffe ne serait-il pas une abréviations de passif
Moi, pendant ce temps, j’allais m’asseoir dehors sur la terrasse. Peu à peu, cependant, mes yeux s’y faisaient, et je venais m’asseoir au pied même de la lampe, à côté du gardien qui lisait son Plutarque à haute voix, de peur de s’endormir… Peu à peu la brume de mer montait. Du vent, de la pluie, la mer énorme comme on ne l’avait jamais vue… D’énormes goélands, seuls gardiens du cimetière, tournoyaient sur nos têtes et mêlaient leurs cris rauques aux lamentations de la mer. Aux îles Lavezzi, monsieur. Mais précisément voici le berger dont je vous parle, monsieur ; il va vous conter la chose lui-même… Mais enfin, comment la chose s’est-elle passée ? Ce doit être à midi ; oui, monsieur, en plein midi… Ces brumes-là, monsieur, on ne se doute pas comme c’est traître… Ça ne fait rien, j’ai idée que la Sémillante a dû perdre son gouvernail dans la matinée ; car, il n’y a pas de brume qui tienne, sans une avarie, jamais le capitaine ne serait venu s’aplatir ici contre. Laissant toute l’île dans l’ombre, le clair rayon allait tomber au large sur la mer, et j’étais là perdu dans la nuit, sous ces grandes ondes lumineuses qui m’éclaboussaient à peine en passant
Moi, pendant ce temps, j’allais m’asseoir dehors sur la terrasse. Peu à peu, cependant, mes yeux s’y faisaient, et je venais m’asseoir au pied même de la lampe, à côté du gardien qui lisait son Plutarque à haute voix, de peur de s’endormir… Peu à peu la brume de mer montait. Du vent, de la pluie, la mer énorme comme on ne l’avait jamais vue… D’énormes goélands, seuls gardiens du cimetière, tournoyaient sur nos têtes et mêlaient leurs cris rauques aux lamentations de la mer. Aux îles Lavezzi, monsieur. Mais précisément voici le berger dont je vous parle, monsieur ; il va vous conter la chose lui-même… Mais enfin, comment la chose s’est-elle passée ? Ce doit être à midi ; oui, monsieur, en plein midi… Ces brumes-là, monsieur, on ne se doute pas comme c’est traître… Ça ne fait rien, j’ai idée que la Sémillante a dû perdre son gouvernail dans la matinée ; car, il n’y a pas de brume qui tienne, sans une avarie, jamais le capitaine ne serait venu s’aplatir ici contre. Laissant toute l’île dans l’ombre, le clair rayon allait tomber au large sur la mer, et j’étais là perdu dans la nuit, sous ces grandes ondes lumineuses qui m’éclaboussaient à peine en passant
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